A Pargny, le canal et ses berges vous surprendront par la beauté des paysages.
A Pargny, le canal et ses berges vous surprendront par la beauté des paysages.
Sa construction date de 1140. Elle a été remaniée au XYème siècle et se distingue par un mélange de style roman et gothique. L'église a été classée monument historique en 1907. Elle a servi de cible à l'artillerie allemande au cous de la première Guerre Mondiale et a été fortement endommagée, tout comme le village. Elle fut restaurée à l'identique en 1928 et est toujours classée.
Une visite commentée de l'église vous ramènera au XIIème siècle ; la richesse de l'architecture témoigne aussi de la foi des anciens seigneurs des lieux. Prendre rendez-vous auprès de Pascal Roussel, guide local.
Sa construction date de 1140. Elle a été remaniée au XYème siècle et se distingue par un mélange de style roman et gothique. L'église a été classée monument historique en 1907. Elle a servi de cible à l'artillerie allemande au cous de la première Guerre Mondiale et a été fortement endommagée, tout comme le village. Elle fut restaurée à l'identique en 1928 et est toujours classée.
Une visite commentée de l'église vous ramènera au XIIème siècle ; la richesse de l'architecture témoigne aussi de la foi des anciens seigneurs des lieux. Prendre rendez-vous auprès de Pascal Roussel, guide local.
Saint-Christ-Briost offre une vue exceptionnelle sur les étangs de la vallée de la Somme. Profitez de votre visite pour découvrir une anguillère, piège destiné à la capture de l'anguille et qui fait la réputation du Pays Santerre Haute Somme.
L'anguille est piégée en Haute-Somme depuis 1383. A l'origine, les pièges étaient en bois. Aujourd'hui, ils sont peu à peu remplacés par des pièges métalliques. Longs de plusieurs mètres, ils sont situés aux vannages. Lorsque l'eau s'engouffre dans l'anguillère, l'anguille suit instinctivement le courant et se retrouve emprisonnées. Actuellement, il existe encore 9 anguillères de Bray-sur-Somme à Saint-Christ-Briost. l'anguille fait partie intégrante du patrimone gastronomique de la région. On la consomme fumée, en pâté, grillée, persillée, mitonnée au cidre...
Depuis le XIVème siècle, les pêcheurs de la Haute Somme profitent de cette grande migration pour mettre en place les 'anguillères'. Ces pièges en bois canalisent l'eau de la rivière et retiennent les poissons qui se retrouvent bloqués par des lames en bois. Actuellement, il existe encore 9 anguillères de Bray-sur-Somme à Saint-Christ-Briost. l'anguille fait partie intégrante du patrimone gastronomique de la région. On la consomme fumée, en pâté, grillée, persillée, mitonnée au cidre...
Saint-Christ-Briost offre une vue exceptionnelle sur les étangs de la vallée de la Somme. Profitez de votre visite pour découvrir une anguillère, piège destiné à la capture de l'anguille et qui fait la réputation du Pays Santerre Haute Somme.
L'anguille est piégée en Haute-Somme depuis 1383. A l'origine, les pièges étaient en bois. Aujourd'hui, ils sont peu à peu remplacés par des pièges métalliques. Longs de plusieurs mètres, ils sont situés aux vannages. Lorsque l'eau s'engouffre dans l'anguillère, l'anguille suit instinctivement le courant et se retrouve emprisonnées. Actuellement, il existe encore 9 anguillères de Bray-sur-Somme à Saint-Christ-Briost. l'anguille fait partie intégrante du patrimone gastronomique de la région. On la consomme fumée, en pâté, grillée, persillée, mitonnée au cidre...
Depuis le XIVème siècle, les pêcheurs de la Haute Somme profitent de cette grande migration pour mettre en place les 'anguillères'. Ces pièges en bois canalisent l'eau de la rivière et retiennent les poissons qui se retrouvent bloqués par des lames en bois. Actuellement, il existe encore 9 anguillères de Bray-sur-Somme à Saint-Christ-Briost. l'anguille fait partie intégrante du patrimone gastronomique de la région. On la consomme fumée, en pâté, grillée, persillée, mitonnée au cidre...
L'Eglise dédiée à Notre-Dame de l'Assomption date du XIIème siècle. La tour et les voûtes ont été reconstruites après la Grande Guerre. Le portail sud du XIIIème, restauré, et riche de colonnes surmontées de chapiteaux à voussures sculptées.
Nul ne peut évoquer Athies, sans parler de Radegonde, fille du roi de Thuringe. Cette jeune princesse fut ramenée à Athies avec son frère comme 'butin de guerre' après la défaite des Thuringiens contre les Francs, par Clotaire, fils de Clovis. Radegonde devient reine des Francs en 538 contre son gré après avoir reçu une formation intellectuelle et religieuse à Athies. Le prestige de la reine Radegonde fut considérable jusqu'au jour où elle décide de quitter définitivement la Cour suite au meutre de son frère par Clotaire, son mari. Elle se consacre alors à Dieu, puis se retire dans un monastère jusqu'à sa mort en 587. Son tombeau est trés visité à Poitiers. A Athies, Radegonde fit construire une maladrerie où se trouve l'actuelle maison de retraite qui porte son nom. Des vitraux de l'église Notre Dame de l'Asomption d'Athies retracent sa vie.
L'Eglise dédiée à Notre-Dame de l'Assomption date du XIIème siècle. La tour et les voûtes ont été reconstruites après la Grande Guerre. Le portail sud du XIIIème, restauré, et riche de colonnes surmontées de chapiteaux à voussures sculptées.
Nul ne peut évoquer Athies, sans parler de Radegonde, fille du roi de Thuringe. Cette jeune princesse fut ramenée à Athies avec son frère comme 'butin de guerre' après la défaite des Thuringiens contre les Francs, par Clotaire, fils de Clovis. Radegonde devient reine des Francs en 538 contre son gré après avoir reçu une formation intellectuelle et religieuse à Athies. Le prestige de la reine Radegonde fut considérable jusqu'au jour où elle décide de quitter définitivement la Cour suite au meutre de son frère par Clotaire, son mari. Elle se consacre alors à Dieu, puis se retire dans un monastère jusqu'à sa mort en 587. Son tombeau est trés visité à Poitiers. A Athies, Radegonde fit construire une maladrerie où se trouve l'actuelle maison de retraite qui porte son nom. Des vitraux de l'église Notre Dame de l'Asomption d'Athies retracent sa vie.
A Rouy-le-Petit, près de Nesle, venez découvrir l'arboretum. Crée en 2001, il se situe à la sortie sud du village et comprend plus d'une centaine d'espèces d'arbres. Ses abords ont été aménagés afin de faire de votre promenade un moment agréable.
A Rouy-le-Petit, près de Nesle, venez découvrir l'arboretum. Crée en 2001, il se situe à la sortie sud du village et comprend plus d'une centaine d'espèces d'arbres. Ses abords ont été aménagés afin de faire de votre promenade un moment agréable.
Depuis 1993, Le P'tit Baltar, ce cabaret Music Hall est un haut lieu de la fête. Tous les ans, un nouveau spectacle inoubliable !! Transformiste, magiciens, orchestre, chanteurs, chanteuses, mimes, ventriloques, fantaisistes, imitateurs, danseurs et danseuses. L'Architecture de cet établissement est signée Gustave Eiffel, il s'agit d'un pavillon de l'exposition universelle de 1890 démonté puis reconstruit à Nesle en 1900 pour la quincaillerie Gobin et Deloire.
Depuis 1993, Le P'tit Baltar, ce cabaret Music Hall est un haut lieu de la fête. Tous les ans, un nouveau spectacle inoubliable !! Transformiste, magiciens, orchestre, chanteurs, chanteuses, mimes, ventriloques, fantaisistes, imitateurs, danseurs et danseuses. L'Architecture de cet établissement est signée Gustave Eiffel, il s'agit d'un pavillon de l'exposition universelle de 1890 démonté puis reconstruit à Nesle en 1900 pour la quincaillerie Gobin et Deloire.
Monchy-Lagache est une cité marquée par quatre influences dont celle des moines et des templiers. L'eglise fut reconstruite au IXème siècle suite aux invasions normandes et dédiée à Saint-Pierre en 1022. En 1917, elle est dynamitée par les Allemands. Elle est restaurée entre 1925 et 1929. Elle se présente comme autrefois, orientée d'est en ouest, dans son style d'origine, un mélange de roman et gothique. Les vitraux datent de 1927 et sont l'oeuvre de Jacques Grüber, artiste plastique et maître-verrier. Ils ont d'abord été classés à l'inventaire des Monuments Historiques puis aux Beaux-Arts.
Monchy-Lagache est une cité marquée par quatre influences dont celle des moines et des templiers. L'eglise fut reconstruite au IXème siècle suite aux invasions normandes et dédiée à Saint-Pierre en 1022. En 1917, elle est dynamitée par les Allemands. Elle est restaurée entre 1925 et 1929. Elle se présente comme autrefois, orientée d'est en ouest, dans son style d'origine, un mélange de roman et gothique. Les vitraux datent de 1927 et sont l'oeuvre de Jacques Grüber, artiste plastique et maître-verrier. Ils ont d'abord été classés à l'inventaire des Monuments Historiques puis aux Beaux-Arts.
C'est Odon IV, seigneur de Ham (1216-1234), qui reconstruit le Château en lui donnat sa forme rectangulaire. Ses dimensions sont imposantes : 120 m de long, 80 m de large, 16 m de haut. Il se compose de quatre tours placées à chaque angle et d'une tour d'entrée. Installée aux portes de l'Ile de France, longtemps limites du royaume, le château sera convoité par de nombreux envahisseurs. Le siège le plus célèbre sera celui de 1557 mené par les Espagnols dirigés par Philippe II, fils de Charles Quint. Sous le régne de Henri IV, le château est rattaché à la Couronne de France et les derniers travaux importants sur les fortifications seront exécutés sous les ordes de Vauban.
Le Château devient une prison d'Etat mais c'est avec la période de la Révolution Française et ses premiers prisonniers célèbres qui vont se succéder pendant plus d'un siècle que le renom du fort de Ham fera frissoner plus d'un prisonnier. Le prisonnier le plus célèbre reste sans aucun doute le Prince Louis-Napoléon Bonaparte. Après son coup d'état manqué à Boulogne-sur-Mer en 1840, il sera condamné à perpétuité et enfermé à la prison de Ham. Il s'en évadera en 1846 déguisé en maçon. Son évasion rocambolesque et son surnom 'Badinguet' resteront dans les mémoires.
Le château sera dynamité dans la nuit du 18 au 19 mars 1917 par les troupes allemandes bien décidées à détruire systématiquement les monuments situées sur le chemin de leur retraite.
Laissé à l'abandon pendant plus de 60 ans, pillé par tous, les ruines du fort de Ham ne doivent leur salut qu'à l'opiniâtreté de quelques Hamois qui le firent inscrire à l'inventaire supplémentaires des monuments historiques en 1965.
Quelques vestiges sont encore visibles aujourd'hui, notamment la tour d'entrée érigée par Jean de Luxembourg et la devise de son neveu, Louis, connétable de France : 'Mon Myeux', qui signifie 'Ce que j'ai fait de mieux'. Cette inscription se trouvait à l'originie sur la tour du connétable, construite par Louis de Luxembourg.
C'est Odon IV, seigneur de Ham (1216-1234), qui reconstruit le Château en lui donnat sa forme rectangulaire. Ses dimensions sont imposantes : 120 m de long, 80 m de large, 16 m de haut. Il se compose de quatre tours placées à chaque angle et d'une tour d'entrée. Installée aux portes de l'Ile de France, longtemps limites du royaume, le château sera convoité par de nombreux envahisseurs. Le siège le plus célèbre sera celui de 1557 mené par les Espagnols dirigés par Philippe II, fils de Charles Quint. Sous le régne de Henri IV, le château est rattaché à la Couronne de France et les derniers travaux importants sur les fortifications seront exécutés sous les ordes de Vauban.
Le Château devient une prison d'Etat mais c'est avec la période de la Révolution Française et ses premiers prisonniers célèbres qui vont se succéder pendant plus d'un siècle que le renom du fort de Ham fera frissoner plus d'un prisonnier. Le prisonnier le plus célèbre reste sans aucun doute le Prince Louis-Napoléon Bonaparte. Après son coup d'état manqué à Boulogne-sur-Mer en 1840, il sera condamné à perpétuité et enfermé à la prison de Ham. Il s'en évadera en 1846 déguisé en maçon. Son évasion rocambolesque et son surnom 'Badinguet' resteront dans les mémoires.
Le château sera dynamité dans la nuit du 18 au 19 mars 1917 par les troupes allemandes bien décidées à détruire systématiquement les monuments situées sur le chemin de leur retraite.
Laissé à l'abandon pendant plus de 60 ans, pillé par tous, les ruines du fort de Ham ne doivent leur salut qu'à l'opiniâtreté de quelques Hamois qui le firent inscrire à l'inventaire supplémentaires des monuments historiques en 1965.
Quelques vestiges sont encore visibles aujourd'hui, notamment la tour d'entrée érigée par Jean de Luxembourg et la devise de son neveu, Louis, connétable de France : 'Mon Myeux', qui signifie 'Ce que j'ai fait de mieux'. Cette inscription se trouvait à l'originie sur la tour du connétable, construite par Louis de Luxembourg.
Classée monument historique, elle est considérée comme l'une des plus belles cryptes de Nord de la France. Comme l'église, elle date du XIIème siècle et marque la transition entre le style roman et le style gothique. La crypte se situe dans la partie inférieur du chevet. Autrefois appelée 'basse église', c'est une véritable église souterriane qui était destinées aux offices des chanoines durant l'hiver. On peut admirer depuis 1600, deux magnifiques pierres tombales appelés 'gisants'. Il s'agit d'Odon IV, seigneur de Ham de 1216 à 1234, et d'Isabelle de Béthencourt, son épouse, descendante des seigneurs de Béthencourt-sur-Somme.
Classée monument historique, elle est considérée comme l'une des plus belles cryptes de Nord de la France. Comme l'église, elle date du XIIème siècle et marque la transition entre le style roman et le style gothique. La crypte se situe dans la partie inférieur du chevet. Autrefois appelée 'basse église', c'est une véritable église souterriane qui était destinées aux offices des chanoines durant l'hiver. On peut admirer depuis 1600, deux magnifiques pierres tombales appelés 'gisants'. Il s'agit d'Odon IV, seigneur de Ham de 1216 à 1234, et d'Isabelle de Béthencourt, son épouse, descendante des seigneurs de Béthencourt-sur-Somme.
Les fresques de la gare de Ham évoquent le château, l'industrie sucrière, la culture du blè et les blasons des communes et des seigneurs.
Les fresques de la gare de Ham évoquent le château, l'industrie sucrière, la culture du blè et les blasons des communes et des seigneurs.
La nature en Haute-Somme c'est aussi un héritage du labeur de nos ancêtres. Découvrez les 'hardines' !! c'est le nom donné aux jardins de la ville qui, autrefois, servaient à la production maraîchère. A Péronne, la principale production était le navet de 'Montesson', appelé également navet de Péronne. Ces hardines rappellent les hortillonages d'Amiens. Observer l'ensemble de ces parcelles découpées par des canaux régulièrement entretenus, ce qui en facilite l'irrigation.
La nature en Haute-Somme c'est aussi un héritage du labeur de nos ancêtres. Découvrez les 'hardines' !! c'est le nom donné aux jardins de la ville qui, autrefois, servaient à la production maraîchère. A Péronne, la principale production était le navet de 'Montesson', appelé également navet de Péronne. Ces hardines rappellent les hortillonages d'Amiens. Observer l'ensemble de ces parcelles découpées par des canaux régulièrement entretenus, ce qui en facilite l'irrigation.